

Vénus, 2020, Pierre de Saint-Maximin, 34,5 x 14 x 14 cm
Trois figures enlacées fusionnent et ne forment plus qu’une. Cette sculpture, de facture classique, fait écho au baiser de Brâncuși. L’œuvre est une interprétation de ce qui pourrait être une représentation de Vénus aujourd’hui. La déesse a laissé place à des corps asexués, elle n’émerge pas de la nature mais semble au contraire y retourner. En se tournant vers eux-mêmes, les corps s’émancipent de tout jugement arbitraire.